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Durée: 1h30
:: AVEC Julie Mossay, Didier de Neck et Christian Crahay (en alternance), François-Michel Van der Rest et Didier Colfs (en alternance), Johan Dupont et Fabian Fiorini (en alternance) RÉALISATION Axel De Booseré, Maggy Jacot PRODUCTION Compagnie Pop-Up, Théâtre Le Public, Théâtre de Liège, Palais des Beaux-Arts de Charleroi SOUTIEN Tax Shelter de l'Etat Fédéral Belge, Communauté Française
infosCrédit photo: Alice Piemme
Type: Spectacle musical
Une cantatrice au parcours de vie étonnant, deux comédiens complices et un pianiste pince-sans-rire, nous entraînent dans un spectacle musical qui fait du bien. Voilà qui est de bon augure pour commencer la saison. Car l'histoire vraie de Julie Mossay est un hymne à l'optimisme, celui d'une jeune femme qui vient d'un univers de karaoké et de baraque à frites et qui s'est créé une place dans le monde hyper codifié de l'opéra. Entre chansons pops et airs d'opéra que Julie interprète, c'est ce cheminement qu'elle va vous raconter. Un beau pied de nez au destin.
« À 16 ans, ma destinée était claire : reprendre l'entreprise familiale. Car, comme le disait mon professeur de mathématiques, je n'étais bonne qu'à faire des frites en face de l'école. Cette pique, il la sortait à tout le monde mais dans mon cas elle prenait une résonance particulière : cette friterie était celle de mon père ! J'ai toujours été fière de ma famille et les moqueries de certains étudiants ne m'atteignaient pas. Chez nous, le son de Radio Nostalgie régnait en maître. Pourtant un jour, entre le karaoké et le coup de midi derrière les hamburgers, j'ai pointé mon nez chez une professeure de chant lyrique. Rose aux joues, pommettes relevées et voix perchée, elle m'a demandé tout de go de chanter un air de Mozart. Et là, ce fut comme une évidence, de celles qui marquent une vie. Une vie où l'opéra devint un rêve à atteindre ». — Julie Mossay
« À 16 ans, ma destinée était claire : reprendre l'entreprise familiale. Car, comme le disait mon professeur de mathématiques, je n'étais bonne qu'à faire des frites en face de l'école. Cette pique, il la sortait à tout le monde mais dans mon cas elle prenait une résonance particulière : cette friterie était celle de mon père ! J'ai toujours été fière de ma famille et les moqueries de certains étudiants ne m'atteignaient pas. Chez nous, le son de Radio Nostalgie régnait en maître. Pourtant un jour, entre le karaoké et le coup de midi derrière les hamburgers, j'ai pointé mon nez chez une professeure de chant lyrique. Rose aux joues, pommettes relevées et voix perchée, elle m'a demandé tout de go de chanter un air de Mozart. Et là, ce fut comme une évidence, de celles qui marquent une vie. Une vie où l'opéra devint un rêve à atteindre ». — Julie Mossay